L’équinoxe de printemps et la sève que je sens monter en moi m’ont inspiré deux « tableaux ».
L’un est sobre, tout en retenue. L’autre, réalisé dans un moment d’optimisme qui ne fut pas sans rappeler une crise de démence, voire un orgasme, est plus flashy.
Je préfère très nettement l’humilité du premier mais me devais de vous livrer également l’outrecuidance joyeuse du second.